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Sans raison...
La jalousie peu à peu me ronge,
Venant perturber mes songes,
Alors que la solitude me hante,
Tandis que l'amour me tente.
Quel est ce triste sentiment,
Qui en moi peu à peu s'étend?
L'aigle déploie ses ailes,
Vole à la recherche de liberté tel,
Mon âme qui voudrait se libérer,
Et ratrapper ton coeur envolé.
Je ne pourrais te rejoindre,
Je ne parviens pas à t'atteindre,
Pourquoi me fuis tu,
La jalousie chaque jour me tue,
Je t'aime et ne peux te le dire,
En silence je ne peux que soufrir,
L'amour de toutes ces personnes,
Ses sentiments qui en toi résonnent.
Tu es aimé je n'y peux rien,
Tu es apprécié je le sais bien,
Toi l'objet de mes pensées,
Celui qui hante mes journées.
Je ne veux pas que tu m'apartiennes,
Seulement que tu m'aimes...
C'est un appel à l'amour,
Car à mes mots tu es sourd...
Sous la plume de gribouillon, a 18:02 dans la rubrique journal.
Prendre sa plume

Du fond des océans :

Lueur
Lueur
17-02-04 à 19:05

eh ben...

Que dire a part que ton appel est plus que touchant, et que tout garcon aimerais qu'une fille comme toi lui ecrive un tel message ? la sqeule question que je me pose et a laquelle tu risque de ne pas me repondre, c'est : Qui est ce ?

 
gribouillon
gribouillon
17-02-04 à 19:08

Re: eh ben...

merci...c tro mignon..
Jpe pas te répondre car je n'en ai aucune idée, je te l'ai dit, jve pas retombé amoureuse....donc si je le suis je le sais pas ou jve pas l'admettre...trop compliké lol
Bisous jtadore, heureuse de te revoir!!

 
PetitRenard
PetitRenard
17-02-04 à 23:03

L'amour a ses raisons...

Dans l'effroi tu me plonges,
Quand les ombres s'allongent,
Et la turpitude éprouvante,
Quand l'amour tu désanchante.
Pourquoi ce triste dénigrement,
Que mon coeur peiné entend?
Suis l'aigle dans le ciel,
Accepte la liberté, vis le réel,
Mon coeur qui voudrait s'enchainer,
A ton ame qui me reste fermée.
Je vois le jour poindre,
Mais cessons un instant de feindre.
Pourquoi ne souris-tu,
L'amour déchu chaque jour me tue,
Je t'aime et ne peux que te le dire,
En silence je ne peut que m'offrir,
La jalousie de toute ces personnes
Mes sentiments qui en toi frisonnent.
Tu es aimé, je le sais bien,
Etre apprécié ne me sert en rien,
Toi ma douce bien-aimée,
Celle pour qui je me suis enflammé.
Que nos amours nous appartiennent,
Seuls amants que l'on sème...
C'est le rappel de l'amour,
Ces doux mots ne sont que velour...

Coucou gribouillon, désolé pour la pâle copie mais je voulais répondre pour celle qui m'est fermée. Bonnes vacances :)