autoréflexion
Il ne passe pas une journée sans que je pense à tout ce qui est arrivé par le passé. Les pages sont tournées, pourtant, le vent ouvre toujours le livre à cette nuit et tourne les pages d'année en année...La brise s'arrête quand l'événement qui revient est triste, douloureux et qu'il a laissé sa trace tout au fond de moi...
Il ne passe pas une journée sans que je ne pense pas à toi, à tout ce qui s'est déja passé...Les pages se tournent peu à peu, pourtant chaque instant ou tu es la est inscrit en gras, avec cette encre indélébile dont tu marques ma vie, comme un tatouage sur ma peau, ta pensée accompagne mon esprit.
Cela fait trop de temps que ca dure, et tout ca me détruit et me brule à petit feu. je ne suis qu'une enveloppe, je suis remplie de vide à l'intérieur, je ne suis qu'un lambeau de chair animé. Pourtant, j'ai un coeur, qui me blesse et qui saigne un peu plus à chaque seconde qui passe. Ma tête s'est remplie de trop d'images et de mots qui m'anéantissent à chaque instant.
Je ne baisserai pas les yeux, je ne baisserai pas les bras...je ne peux pas empêcher aux journée de se ressembler, et aux événements d'arriver. Je ne peux pas canger le cours du temps, et pourtant, je voudrais l'arrêter parfois quand je me sens bien...l'accélérer quand la souffrance devient trop forte et qu'il m'est impossible de la canaliser dans ma tête...
Pourquoi est ce que tout marche par deux? Pourquoi tout doit être complémenté d'autre chose? Pensée étrange mais pourtant si vrai, la plupart des choses vont par deux, à part peut être le temps qui n'a besoin de rien pour s'écouler... La solitude me tient compagnie, elle est celle qui complète ma vie chaque jour, voila le couple auquel j'appartiens un peu plus à chaque instant; elle est bénéfique par moment, mais le plus souvent ce n'est pas le cas... Je suis admirative face à ceux qui peuvent être à deux en étant seul, qui acceptent la solitude et qui aussi parfois l'apprécie tout le temps... Je suis en même temps heureuse pour ceux qui sont en couple, ceux qui à deux construisent une famille, ceux qui ont quelque chose à partager avec quelqu'un...
Je ne peux qu'espérer, bien que l'histoire future est peut etre déja inscrite quelque part, et que je ne pourrais certainement pas en changer le cours quoique je fasse.
Toutes les douleurs physiques ne sont en fait que le résultat de douleurs psychologiques. Je commence simplement maintenant à comprendre tout ca, lorsque le moral faibli, chaque activité de la vie de tous les jours devient plus dure...comme le simple fait de me nourrir, je n'en ai plus envie, alors qu'avant c'était capital...je n'ai plus envie de rien...
Je fuis les autres, j'en ai peur, je me sens mal à l'aise, pas à ma place, pourtant, il y a certaines personnes que j'apprécie même si elles sont peu nombreuses... J'ai du mal à comprendre mon comportement, pourquoi je réagis ainsi, et les autres ne me comprennent pas, tout n'est qu'incompréhension...
Mes nuits deviennent assez courtes, j'ai du mal à m'endormir le soir...pourquoi? Simplement cette fatigue psychologique qui me tient jusqu'à ce que les yeux ne puissent plus tenir ouverts, que le mal de ventre qui me tient éveillé soit effacé par la fatigue et que quelques larmes est coulées...comme à regret.
J'ai simplement compris qu'il faut dire que tout va bien, sourire coute que coute, qu'on se sente bien ou non... Juste pour montrer, ou se mentir, en disant que tout va pour le mieux. Même quand l'envie de quitter le monde, me rejoint souvent, il faut savoir se taire, quand tout résonne dans la tête et qu'un mal de ventre persiste jour après jour, il faut savoir se taire, quand le mal de tête vient me rappeler que tout vient de moi...il faut que je l'accepte...
Mais j'apprendrai..j'apprendrai à souffrir en silence, à ne pleurer que quand les autres seront tournés, à crier en silence, à me taire...Et si le mal devient plus fort, j'apprendrai à m'effacer lentement, à partir doucement...parce que je les aime...
Il ne passe pas une journée sans que je ne pense pas à toi, à tout ce qui s'est déja passé...Les pages se tournent peu à peu, pourtant chaque instant ou tu es la est inscrit en gras, avec cette encre indélébile dont tu marques ma vie, comme un tatouage sur ma peau, ta pensée accompagne mon esprit.
Cela fait trop de temps que ca dure, et tout ca me détruit et me brule à petit feu. je ne suis qu'une enveloppe, je suis remplie de vide à l'intérieur, je ne suis qu'un lambeau de chair animé. Pourtant, j'ai un coeur, qui me blesse et qui saigne un peu plus à chaque seconde qui passe. Ma tête s'est remplie de trop d'images et de mots qui m'anéantissent à chaque instant.
Je ne baisserai pas les yeux, je ne baisserai pas les bras...je ne peux pas empêcher aux journée de se ressembler, et aux événements d'arriver. Je ne peux pas canger le cours du temps, et pourtant, je voudrais l'arrêter parfois quand je me sens bien...l'accélérer quand la souffrance devient trop forte et qu'il m'est impossible de la canaliser dans ma tête...
Pourquoi est ce que tout marche par deux? Pourquoi tout doit être complémenté d'autre chose? Pensée étrange mais pourtant si vrai, la plupart des choses vont par deux, à part peut être le temps qui n'a besoin de rien pour s'écouler... La solitude me tient compagnie, elle est celle qui complète ma vie chaque jour, voila le couple auquel j'appartiens un peu plus à chaque instant; elle est bénéfique par moment, mais le plus souvent ce n'est pas le cas... Je suis admirative face à ceux qui peuvent être à deux en étant seul, qui acceptent la solitude et qui aussi parfois l'apprécie tout le temps... Je suis en même temps heureuse pour ceux qui sont en couple, ceux qui à deux construisent une famille, ceux qui ont quelque chose à partager avec quelqu'un...
Je ne peux qu'espérer, bien que l'histoire future est peut etre déja inscrite quelque part, et que je ne pourrais certainement pas en changer le cours quoique je fasse.
Toutes les douleurs physiques ne sont en fait que le résultat de douleurs psychologiques. Je commence simplement maintenant à comprendre tout ca, lorsque le moral faibli, chaque activité de la vie de tous les jours devient plus dure...comme le simple fait de me nourrir, je n'en ai plus envie, alors qu'avant c'était capital...je n'ai plus envie de rien...
Je fuis les autres, j'en ai peur, je me sens mal à l'aise, pas à ma place, pourtant, il y a certaines personnes que j'apprécie même si elles sont peu nombreuses... J'ai du mal à comprendre mon comportement, pourquoi je réagis ainsi, et les autres ne me comprennent pas, tout n'est qu'incompréhension...
Mes nuits deviennent assez courtes, j'ai du mal à m'endormir le soir...pourquoi? Simplement cette fatigue psychologique qui me tient jusqu'à ce que les yeux ne puissent plus tenir ouverts, que le mal de ventre qui me tient éveillé soit effacé par la fatigue et que quelques larmes est coulées...comme à regret.
J'ai simplement compris qu'il faut dire que tout va bien, sourire coute que coute, qu'on se sente bien ou non... Juste pour montrer, ou se mentir, en disant que tout va pour le mieux. Même quand l'envie de quitter le monde, me rejoint souvent, il faut savoir se taire, quand tout résonne dans la tête et qu'un mal de ventre persiste jour après jour, il faut savoir se taire, quand le mal de tête vient me rappeler que tout vient de moi...il faut que je l'accepte...
Mais j'apprendrai..j'apprendrai à souffrir en silence, à ne pleurer que quand les autres seront tournés, à crier en silence, à me taire...Et si le mal devient plus fort, j'apprendrai à m'effacer lentement, à partir doucement...parce que je les aime...
Sous la plume de gribouillon, a 18:24 dans la rubrique journal.
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Du fond des océans :
Anonyme
06-05-04
à 22:01
NON ..faut pas te replier sur toi ...surtout pas...cherche des occupations ...Dans la vie ,il y aura toujours des bons et des mauvais moments ...mais c'est comme cela ..il faut essayer de faire son petit bonhomme de chemin tant bien que mal ...courage .