J'ai plus envie de parler de tout ca, vous m'avez fait trop soufrir, beaucoup trop... J'ai été dans le rôle d'une girouette, je me suis accrochée à vous quand vous m'avez délaissée en haut de cette falaise, et vous etes partis...
Je crois qu'on ne m'a jamais aussi peu respectée que par la manière hypocrite de vos actes, je crois que je ne me suis jamais sentie aussi mal si longtemps qu'à vos côtés...
Et je ne sais pas pourquoi il y a des jours ou je n'ai que vous dans la tête, tout le temps, ou tout revient comme un flash back, toutes ces scènes...
Et je m'en veux de lui parler si souvent de tout ca, de laisser ces petites histoires de gamins m'envahir, alors qu'au fond je suis heureuse grâce à lui...
Alors il faut bien une dernière fois à tout, et comme je n'arrive pas à leur en parler en face, autant le faire ici, ils ont usé de l'hypocrisie maintes et maintes fois, alors je suppose que je peux bien me confier à mon journal.
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Je t'en veux d'avoir critiqué mon travail de cette manière, dire comme tu l'as fait que je n'avais fait "que de la merde", je trouve ca injuste, d'une part parce que je t'avais montré ce que j'avais fait et que les erreurs trouvées tu aurais pu y penser, et d'autres part parce que tu as contribué à certaines erreurs dans mon travail au travers de tes conseils...
Je n'ai jamais pu te pardonner de m'avoir pri et jetée comme une chaussette sale, je suis un être humain et je ne suis pas à ta disposition comme bon te semble... Je t'en veux de m'avoir comparée, je ne suis pas un objet, je suis moi avec mes qualités et mes défauts, alors rends toi compte qu'en me comparant sans cesse à une personne que tu vois "quasi parfaite" tu n'as fait que me rabaisser au plus bas...
Je t'en veux de m'avoir reproché de ne pas savoir sourire devant toi, parce que finalement la déprime dans laquelle j'étais c'est toi qui m'y a plongé en grande partie...
Je t'en veux de m'avoir dit que tout le monde me laisserait tomber un jour, parce que tu as sous entendu par la suite que celui que j'aime plus que tout le ferait également...mais regarde, le monde n'est pas à ton image... Mais tu vois dans cette phrase, tu as pour une fois reconnu que tu m'avais laissé tombé, et même si ca a pu etre de ma faute, tu ne l'avais jamais reconnu, c'était toujours moi qui m'éloignais, et je t'en veux de ne pas avoir su reconnaitre tes erreurs...
Je t'en veux de m'avoir tenu la main, de m'avoir presque embrassée en me disant que c'était l'erreur d'un soir parce que moi j'étais perdu à cet instant là entre amour et amitié, et ce doute que tu as mis n'a fait que me faire plus de mal...
Alors tu vois, j'ai des défauts, j'ai fait beaucoup d'erreurs, j'ai été et je suis maladroite, je t'ai peut etre fait un jour de la peine, mais tu n'es pas parfait non plus, et je ne me laisserai pas marcher sur les pieds, non...alors c'est fini, le tiroir est fermé...
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Tout va de pair, et tu ne peux échapper à cet écrit vu le cours des événements...
Par ou commencer? Le moment ou tu as tout fait pour m'éloigner de lui? Les moments ou tu m'écartais, me bousculais, et moi qui croyais à une grande amitié, jouais tu de moi? Je me le suis toujours demandé...
Le jour ou tu m'as dit que tes sentiments n'étaient pas les mêmes que les siens, que tu as continué à prolonger mes doutes...pour finalement te mettre en couple avec lui quelques jours après, tu m'as rendu malade par tes mensonges...
Des mensonges...on peut accuser certains d'en abuser à outrance mais on ne peut pas dire que tu fais mieux, dire à tes parents que je serais présente dans tes petites sorties en couple sans me le dire alors que ce n'est pas vrai, je trouve ca honnetement très culoté...et je t'en veux, d'avoir joué d'une amitié pour arriver à tes fins, je t'en veux terriblement parce que tu m'as utilisé et qu'au fond à quoi ai je servie d'autre?
Ne te serais tu pas rapproché de lui grace a notre amitié et à celle que j'entretenais avec lui? Ne te serais tu pas servie de tout ca pour m'éloigner une fois ceci fait? Ne te serais tu pas servi de ca pour pouvoir sortir?
Alors toi aussi tu ne m'as vu que comme un objet...
Tu sais combien j'ai eu mal? Je ne pense pas, tu n'as jamais compris ma souffrance, tu me l'as dit... Je n'ai pas été tendre non plus je le sais, j'ai perdu les moyens en voulant réagir, et quand tu m'en voulais, je culpabilisais, je n'aurais peut etre pas du parce que finalemet tu m'as utilisé...et je ne sais pas si je pourrais et pardonner un jour, parce qu'un être humain n'est pas un objet selon moi, mais selon toi?...
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Alors voila, je mets ici un récit écrit il y a longtemps, ou j'ai mis tout ce que je ressentais sur l'instant...toute ma douleur d'un moment passé, une derniere fois...
Cet écrit je l'avais montré à lui, pas à elle, car je voulais qu'il sache ce que je ressentais exactement au moins une fois, et il m'était plus simple de lui parler par écrit, car nos discussion tournait trop souvent à l'énervement quand je lui disais que j'avais l'impression de le perdre...
Aux environs de la mi mai 2004.
Interminables souffrances...
Tout a tellement changé, la vie c'est ainsi, on ne la controle pas souvent...On pense avoir des amis, on pense qu'ils sont proches, on les estime, on les apprécie...mais un beau jour, on se lève et là tout est différent, on se sait pas encore pourquoi, mais quelque chose a changé...et là, on tombe de très haut lorsqu'on se rend compte que les relation amicales ne tiennent qu'à un fil...
Est ce qu'elle le voulait? Désirait elle me faire souffrir? Je ne sais pas, mais elle y est arrivée, ils y sont arrivés...j'espérais me sentir à ma place mais non, je suis encore celle sur qui on marche pour mieux rebondir. J'ai la facheuse habitude de m'attacher aux gens, et je l'aimais, oui, c'était mon ami et je m'étais attachée à lui...par timidité peut etre, par gene surement, je ne sais pas mais je ne lui ai pas dit a cet instant ou lui me l'a dit, pourtant je le pensais. Il m'a dit aussi, que j'étais sa meilleure amie, j'aurais pu lui dire que c'était réciproque car c'était ce que je ressentais mais ces mots m'ont trop fait souffrir pour pouvoir les attribuer facilement. Il m'a écrit des poèmes que beaucoup auraient aimé recevoir, et je n'ai pas su le remercier de tout ca certainement. Elle, elle m'appelait sa meilleure amie, elle l'appelait son meilleur ami, et là tout a commencé, ils se sont de plus en plus rapprochés, au début, tout était "normal" mais petit à petit l'étau se resserait et le groupe se fermait. Voila le malaise dans lequel je me suis trouvée.
Il restait encore un ami, mais lorsque j'étais plus ou moins proche de ce dernier, le premier m'en voulait, j'ai tenté de mettre quelques distances pour contenter tout le monde. Le temps passait, et après un événement assez dur à affronter, il est parfois dur d'assumer le reste. Ils ont continué à se rapprocher, me tenant peu à peu hors de leur monde . Est ce que je suis jalouse d'elle? Peut etre, elle prend peu à peu une énorme place dan son coer et moi, je deviens poussière... Elle est si "parfaite", on pourrait se demander si ce n'est pas un masque. Suis je paranoiaque? Hum..après les erreurs des années passées je ne pense pas. Non, je suis vraiment de trop voila tout. Les relations ont changées, ils se tiennent la main, et leurs confidences se font plus intimes, ils partagent ensemble leur temps libre : image du "couple parfait"... Moi, seule dans mon coin, dans ma bulle qu'il a fallu que je me crée, je souffre plus ou moins en silence pour le moment...Mais les émotions, ne sont pas facile à controler, souvent les larmes viennent me tenir compagnie. Je ne pleurs pas la perde d'un ami, car il serait faux de dire "perdu" mais je pleure son éloignement, j'aurais aimé pouvoir lui dire que je l'aimais moi aussi, qu'il était mon meilleur ami, qu'il représentait tant à mes yeux. Mais son coeur fut conquis par une autre, face a qui, je ne fais pas le poids, je ne suis qu'une moins que rien face à sa beauté, et son intelligence, qui est bien supérieure à la mienne. Face à sa gentillesse, et sa joie, il ne me reste plus qu'à plaider couppable, car je souffre de cette infériorité, de cette comparaison qui s'établit entre nous...
Lui, je lui aurais tout donné, ma vie, tout...déjà, il fut le premier de mon entourage "proche" à avoir accès à mon journal, j'avais une confiance absolue, que j'ai toujours mais c'est différent. On pouvait parler avant, pendantles récréations on se voyait, on déjeunait ensemble, aujourd'hui, c'est à peine s'il se passe quelque chose, parfois... J'exagère un peu, car le contact commence peu à peu à reprendre à l'heure ou j'écris mais l'éloignement reste tellement présent... Il a osé m'appeler par son prénom, comment a t il pu? L'habitude de trainer avec elle, oui, mais ou est ce que je suis? M'a t on déjà oublié? Je savais que le temps atténuait tout, mais aussi rapidement, il se surpasse... Il me reproche d'etre jalouse, ce qu'il était lui aussi, il me reproche de lui en vouloir à elle, c'est vrai que je lui en veux certainement plus qu'à lui car je sens que peu à peu notre amitié m'échappe et qu'elle est de plus en plus heureuse... Il me reproche d'etre déprimée tout le tempsn, mais la cause, qu'est ce qu'on en fait? De me faire du mal, mais la encore, ou est la cause? Je dois donc souffrir sans leur montrer tout ca, faire semblant d'aller bien, je ne sais pas... Je suis perdue, même mes sentiments deviennent confus à présent, pourtant seule l'amitié devrait etre autorisée et rien d'autre dans ces moments là... Je ne me sens pas à la hauteur face à celle qui fait son bonheur...j'aurais aimé lui appoorter tout ca, mais voila, la nature fait que nous sommes tous différents...et je sais que demain tout sera pareil, il seront ensembles et moi, je n'aurais plus qu'a me taire...j'espère pour eux qu'ils ne ressentiront jamais cette souffrance qui me suit chaque seconde qui passe, qu'ils ne verront pas leurs amis les éloigner l'un de l'autre, car tout ca fait mal, très mal...
Elle s'est toujours sentie obligée d'en rajouter "il m'a appelé" "il m'a dit ci...ou ca..", mais ce que je déteste le plus, ce sont les paroles dites expres et qu'il n'aurait pas fallu dire comme lorsqu'elle m'a dit : "demain, il reste à l'heure de trou, il a dit qu'il voulait etre avec moi...enfin avec nous..." Oui, il la considère comme sa petite soeur, oui ils sont très liés...il va bien falloir reconnaitre qu'il ne me reste plus que le silence pour exprimer ma souffrance. Ils ne comprennent pas ce que je erssens, vraiment pas, ou alors...non ils ne doivent pas comprendre ce que ca fait, apres tout, ce ne sont pas eux qui sont en train de perdre un ami...non eux, ils sont heureux, ensemble...
Me voila seule face à la réalité, et si par malheur je tente de m'exprimer on va me reprocher d'aborder ce sujet car bien sur c'est moi qui ai tout faux...
La perte d'un ami, celui que j'appelais mon meilleur ami m'a fait trop de mal, j'ai cru que je ne m'en remettrai pas souvent, et aujourd'hui je me retoruve encore une fois impuissante face à une relation, et je dois me laisser marcher sur les pieds par ceux que j'appelle amis...est ce que c'est ca vivre? Parce ce que je l'aime trop pour le perdre...ces quelque mots ne changeront rien, car ce que je pense, tout le monde s'en fiche et il est beaucoup plus simple de dire que je suis déprimée et dépressive plutot que d'en comprendre les raisons, mais que dois je faire? J'au essayé d'appelé au secours, mais je n'ai pas du crier assez fort...la souffrance est comme gravée en moi, et tous ces instants, tout ca, je ne pourrais les oublier ar j'en porte désormais la cicatrice, j'ai choisi et je me suis marquée certainement à jamais...
Voila ou conduit l'amour même amical...
Il ne veut pas la faire souffrir, je peux comprendre, mais si je souffre alors cela doit etre encore une fois "normal"...Je nevoudrais pas gacher leur bonheur mais pourquoi les portes de l'amitié se referment elles sur moi? J'ai crié, appelé, mais on ne m'a pas couté,ou on a entendu mais tout semblait peut erte a leurs yeux mieux ainsi... et après, on peu m'insulter de tous les noms, me reprocher tous mes défauts mais je sais qu'apparemment, ce que je fai de mieux, ironiquement, c'est de perdre mes amis. Je vais aller loin dans la vie ainsi... On me dit de me battre contre tout ca, de tenir, mais j'ai l'impression de me battre contre les fantomes d'une amiié qui s'éloigne peu à peu, je suis douc perdue d'avance... Il ne me reste plus qu'a ranger dans un placard mes sentiments, car on ne peut résister face a plus forts que soi, je m'avoue vainue et faible face à eux, comment faire autrement? Que dire d'autre? Sinon que l'amitié avait pour moi une place très mportante, autant que l'amour et qu'aujourd'hui le vide est presque total... Il faut que j'aprenne à vivre avec la souffrance, peut etre...il me manque tant parfois, mais je respecte ses choix, et je le resecte et désormais je me tairais...