un soudain besoin inexplicable...
Je voulais travailler, enfin je devais travailler, mais je n'y arrivais pas, impossible de me concentrer sur quoique se soit, l'espagnol, l'anglais ou le francais, impossible...Je regardais le ciel par la fenêtre, j'avais envie d'écire, d'exploser..impossible.. Qu'est ce qui me retenait? Cette douleur intérieure que je sens grandir à chaque instant? Elle grandit et devient physique, mon ventre est noué et j'ai du mal à parler, à écrire, à penser, mon esprit se contredit et divague à chaque instant...
J'ai levé les yeux, et j'ai vu cette paire de ciseaux, objet bien insignifiant, mais je l'ai pris et j'ai passé une lame sur ma peau, doucement d'abord, j'ai dessiné un trait fin, blanc, qui se voit tellement peu sur ma peau si claire..Puis l'envie de reprendre ce geste un peu plus fort vint, et j'ai continué, une trace plus épaisse et rose claire apparait, j'ai alors posé le ciseau et j'ai frotté ac mon oncle à cet endroit, j'avais envie d'avoir mal extérieurement, j'espèrais faire partir la douleur intérieure qui n'a aucune raison d'être la...
Je n'ai pas été jusqu'au sang, j'ai un peu mal, mais jaurais toujours autant mal à l'intérieur je crois, cette méthode n'arrange rien je le sais et je le savais avant déja, mais je crois que j'avais besoin d'essayé pour m'en rendre compte, pour en etre sure... Conception étonante peut etre, mais c'est ce que je ressentais... J'en avais besoin, c'est inexplicable, il fallait que je le fasse. J'étais dans ma bulle, rien ne pouvait m'en empecher, pendant ces quelques instants j'étas déconnectée du monde, il me serait impossible de vous dire quelle musique passait a la radio, je n'étais plus la, j'étais dans mon petit monde... Je ne pouvais pas m'en empecher cette fois ci, j'avais déja voulu le faire avant mais je m'étais retenu et la, je n'ai rien vu venir...
J'ai des amis que j'adore et pourtant je ne peux leur en parler, c'est dur... dur d'expliquer quelque chose, un geste qu'on ne comprend pas soi même, une douleur dont on ne connait pas la cause...
J'ai levé les yeux, et j'ai vu cette paire de ciseaux, objet bien insignifiant, mais je l'ai pris et j'ai passé une lame sur ma peau, doucement d'abord, j'ai dessiné un trait fin, blanc, qui se voit tellement peu sur ma peau si claire..Puis l'envie de reprendre ce geste un peu plus fort vint, et j'ai continué, une trace plus épaisse et rose claire apparait, j'ai alors posé le ciseau et j'ai frotté ac mon oncle à cet endroit, j'avais envie d'avoir mal extérieurement, j'espèrais faire partir la douleur intérieure qui n'a aucune raison d'être la...
Je n'ai pas été jusqu'au sang, j'ai un peu mal, mais jaurais toujours autant mal à l'intérieur je crois, cette méthode n'arrange rien je le sais et je le savais avant déja, mais je crois que j'avais besoin d'essayé pour m'en rendre compte, pour en etre sure... Conception étonante peut etre, mais c'est ce que je ressentais... J'en avais besoin, c'est inexplicable, il fallait que je le fasse. J'étais dans ma bulle, rien ne pouvait m'en empecher, pendant ces quelques instants j'étas déconnectée du monde, il me serait impossible de vous dire quelle musique passait a la radio, je n'étais plus la, j'étais dans mon petit monde... Je ne pouvais pas m'en empecher cette fois ci, j'avais déja voulu le faire avant mais je m'étais retenu et la, je n'ai rien vu venir...
J'ai des amis que j'adore et pourtant je ne peux leur en parler, c'est dur... dur d'expliquer quelque chose, un geste qu'on ne comprend pas soi même, une douleur dont on ne connait pas la cause...
Sous la plume de gribouillon, a 19:15 dans la rubrique journal.
Prendre sa plume
Du fond des océans :
Re:
J'en ai une qui est une confidente, mais elle ne ressent pas du tout les même choses que moi (et heureusement pour elle), donc sur ce genre de sujet je bloque... Merci pour ton commentaire, Bisous
Piper
> J'ai des amis que j'adore et pourtant je ne peux leur en parler
Serait ce comme moi ?? des amis oui mais pas des confidentes ...... des amies de surface
On pense qu'elle ne pourront pas comprendre et puis un jour on se dit que si et arrive le moment ou on leur parle et la elles te rient au nez en disant que tu réfléchis trop ..........
Bref, on garde tout ca pour soi !!